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16 septembre 2008 2 16 /09 /septembre /2008 08:00

Voici une suite de dessins réalisée à quatre mains avec la complicité de François Matton.
Il s'agit d'une sorte de ping-pong graphique où chacun répond à l'envoi de l'autre, improvisant ainsi une réaction en chaine où ce qui précède est forcément pris en compte d'une manière ou d'une autre : soit en lien, soit en rupture, en contre-temps, en écho, en extension, en réduction, en génuflexion, roulé-boulé, saut périlleux, trébuché, grand-écart...

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commentaires

W
dit transporte l'automatique pratique à la tu on surréaliste dirai.trés ca j'acroche vraiment bon ton délire pure réve de questionnements tu étais existantiel sous etat c'est sure bien que les d'hivresse sois vraiment gérés dessins au trait.
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T
<br /> reçu 5 sur 5. Merci Marc.<br /> <br /> <br />
P
(ça existe)
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T
<br /> Oui, heureusement.<br /> <br /> <br />
L
très bon ça - encore…
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T
<br /> Encore et encore et encore. Essayer d'être sur une sorte de crête, en tous cas on essaie. Merci beaucoup lapin (encore). Le plus beau reste toujours à faire. On y ira<br /> plus loin avec le prochain, on essaiera.<br /> <br /> <br />
W
wunderschöngnifique, comme on dit par chez nous...<br /> J'ai rien compris.
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T
<br /> Ah tu me rassure. :)<br /> Mais si ça t'as tiré ce râle guttural c'est que t'as compris l'essentiel.<br /> <br /> <br />
C
SUPER, les gars.<br /> Tiens, les lapins de David...
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T
<br /> Merci beaucoup Franck, t'es sur un gros projet ou quoi? Ton blog semble à l'abandon...<br /> Ah tu me fais plaisir, oui, ce sont bien les lapins anthropomorphes de Inland Empire de David Lynch (mais il ya un autre clin d'oeil cinématographique qui n'a pas été vu encore).<br /> Ce qui m'a toujours fasciné chez Lynch, c'est comment il arrivait à jouer avec nos perceptions. Il n'y a que chez lui que j'ai vu les lettres sur la colline d'hollywood comme quelque chose de<br /> terrifiant, menaçant (le principe de réalité même, comme dirait les surréalistes) dans mullholand et ces lapins qui sont d'un glauque et d'un glacial (malgré les rires enregistrés et les allures de<br /> petit théâtre).<br /> <br /> <br />