27 avril 2009
1
27
/04
/avril
/2009
00:39

Une accumulation au sol de petites poteries aux formes vaguement humaines qui crée un drôle d'effet. On pense à cette armée de soldat chinois en terre cuite enterrée pour accompagner leur empereur. Une image un peu dérisoire mais finalement assez puissante de l'humanité.
Je ne sais pas s'il n'ya pas un principe participatif de cette oeuvre et que Gormley ne demande pas à des volontaires de participer à la fabrication...
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
25 avril 2009
6
25
/04
/avril
/2009
00:26


Le très beau travail de Gormley, exposé au musée d'art moderne de St Etienne. Je trouve sa réflexion sur le corps riche et forte. J'aime tout particulièrement son implantation de silhouettes sur une plage anglaise, qui apparaissent et disparaissent au gré des marées.
Au menu, corps suspendus (pas mal avec la salle des pendus) en boule, couchés, accroupis... Et une très belle salle accueillant des stèles de béton moulées, comportant chacune un numéro, avec ses caractéristiques propres et un nom. Comme une foule de façon de faire corps et de s'individualiser dans la foule.
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
23 avril 2009
4
23
/04
/avril
/2009
00:21
Train fantome dans les galeries de la mine.
Exposition d'une partie de la biennale au sein du musée de la mine, sur le thème de l'abri et l'architecture. Drôle de remorque qui répond au doux nom de sommeilleur. Une petite sieste?
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
21 avril 2009
2
21
/04
/avril
/2009
00:16
Un peu frustré de ne pas avoir pu mieux restitué dans ce croquis un peu rapide, l'atmosphère poignante de cette salle et la force de ces dépouilles suspendues à leur crochet. Un espace qui vaut bien grand nombre d'installations.
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
19 avril 2009
7
19
/04
/avril
/2009
00:11

Musée de la mine de St Etienne. Un endroit vraiment riche et qui transpire son passé. A visiter pour sa galerie reconstitué, ses salles des machines, ses douches "communistes" et son impressionante salle des pendus. La double coîcidence c'est que c'est là la ville où je suis né, et que le puits à fermé l'année de ma naissance. Je n'y étais pas encore allé jusqu'ici.
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
17 avril 2009
5
17
/04
/avril
/2009
00:04

La suite des croquis réalisés à St Etienne à l'occasion de la biennale du design. Encore une fois, veuillez excuser la pauvreté du scan. Un jour, j'aurais le temps et je les rescannerais, histoire de pouvoir un peu mieux les apprécier. Comme souvent, les vieux objets ont la classe...
Published by Thibault Balahy
-
dans
carnets
16 avril 2009
4
16
/04
/avril
/2009
08:49

Il parait que je tiens mon stylo ou crayon de façon peu classique, voire convenable. Je ne me rend pas compte, étant donné que j'ai toujours fait comme ça. Ce qui est sûr c'est que j'ai une attaque appuyée et nerveuse de la page. Je suis de l'école de ceux qui cassent régulièrement la mine du critérium et qui écrase la tête des feutres.
La première fois que j'ai fait dédicacer mon Foligatto et Bibendum par Nicolas De crécy, j'ai été frappé de voir comment il manipulait son crayon. Etant donné son trait acéré et virevoltant, je pensais qu'il avait un maniement nerveux et appuyé de l'outil. Et bien pas du tout, il a une grande souplesse de la main et du poignet, fait son dessin en continuant de discuter, très décontracté, se retourne sans que cela l'arrête dans son mouvement. Je me souvient pas précisément, mais il me semble qu'il tient le crayon inversé, à la façon dont on tient un fusain. Bref, il a trouvé sa façon, sa gestuelle.
Je pense que chaque dessinateur invente sa manière de tenir le crayon, qui découle un peu de données physiques concrètes, du corps, mais aussi beaucoup de choses absorbées par le cerveau et l'oeil.
De toutes façons, le dessin est dans la tête, pas dans la main ou dans l'outil. Je suis persuadé que même sans main, je continuerais de dessiner, mentalement.
Bien sûr, le trait existe au point de rencontre entre cerveau et papier, avec comme médiateur l'outil graphique et ses particularités. Mais en définitive, ce sont une succession de choix, d'adoption et de refus, une formation interne du regard et je dirais même une façon d'être au monde qui coule en même temps que l'encre du stylo. Ce qu'on dit ou qu'on tait dans un dessin, la façon de synthétiser ou au contraire de "bavarder", parle beaucoup de celui qui manipule tout ça. On parle de style, de vision, d'univers, de façon. Je pense à la légèreté rieuse de Sempé, à l'élégance simplement sophistiquée de Pratt, à la morsure de Schiele.
Ce qui rend la chose unique.
Chaque dessinateur se balade avec une possibilité du monde.
A nous tous, nous le sommes. Comme un musicien est une possibilité du chant du monde et du son.
Tout naît dans la tête, en sort et y revient.
ps: il y a certains fétichistes du dessin qui pense que le talent provient d'un certain type d'encre, d'outils et qui vous demandent vos trucs et secrets. Il faut leur répondre : démmerdez vous.
Chacun doit trouver ses solutions. Ne pas prendre le problème à l'envers comme on met parfois la charrue avant les boeufs. Ca se passe à l'intérieur, pas à l'extérieur. La partie immergée de l'iceberg ne vous dira rien de la forme ou de la dimension de celle qui est cachée.
Le chateau de Prague.
Published by Thibault Balahy
-
dans
dessin
15 avril 2009
3
15
/04
/avril
/2009
00:00

MDF, un récit réalisé pour le scénariste David
Benito, et qui raconte sa vision de la Maison des Auteurs dAngoulême et de sa résidence. On dirait qu'il s'en passe des choses là-bas. Une petite suite de strip à suivre sur grandpapier.
Et je vous invite à voir la version désopilante de Marie de Monti, datée du 5 fevrier 09 (pas réussi à copier un lien direct sur le post en question) sur cette
page.
Published by Thibault Balahy
-
dans
bande dessinée
14 avril 2009
2
14
/04
/avril
/2009
11:49
François me demandait si le passage en noir et blanc de ce projet ne lui nuirait pas. J'espère que ce n'est pas le cas.
Published by Thibault Balahy
-
dans
bande dessinée
13 avril 2009
1
13
/04
/avril
/2009
00:00
Published by Thibault Balahy
-
dans
dessin